36. RUE JEAN JAURES | LE GOÛTER BRETON

 


M. et Mme TUDAL ont tenu une première crêperie au bas de la rue du Pont


7, rue du Pont




Henri Caradec
à l'emplacement de la créperie Tudal, il y eut un restaurant.
Chris Douarn
il me semble qu'avant la crêperie, c'était un bar et taxi tenu par Mme Tudal.
Henri Caradec ce ne serait pas un bar ?
Castel Gwenn-Aël
Une triperie chez TUDAL père.
Francois Gonnidec
c'etait un bar chez guitare j'allais jouer au flipper,c'etait la mère d'un copain, madame Quideau.
Bernard Celton
J y vais de temps en temps ,très bonne crêperie !
LadyGwen Therese B
bel endroit excellentes ripailles bonnes galettes avec un patron au franc parler j adoree
Annie Quemener Gandrieau
les parents Tudal ont commencé avec une petite crêperie en bas de la rue du pont dans les années 56 je crois! j'y allais une fois par semaine avec encore l'assiette et les petits morceaux de beurre que nous emmenions en cuisine!
Jean-Charles Péron
le père était tripier
Jean-Charles Péron oui c était madame Tudal qui faisait les crêpes et une petite cousine a moi travaillait avec elle.
JeanPiotr De Douarn
oui, c'était au 7 Rue du pont - chez mes parents
Tendre Milka
Crêperie absolument DÉLICIEUSE !!!
Thierry Reneteau
Bon souvenir
Vincent Meslet
La beurre sucre dru !! A chaque fois on a du goût!
Françoise Moulin
Roger, si sympa. Ses crêpes, si bonnes. La crase, si divine.
Danielle Quere
Nous y venions en voisins .....dans les années 50/60 la crêperie était à l’autre bout de la rue....
Nous des crêpes et papa commandait à l’avance des tripes....
Gaëlle Friant
La meilleure crêperie de Douarnenez
Eric Douarinou
Avant j’alternai en celle là et tante phine

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 DE ROGER  à  FRANK: L'institution change de prénom.
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Frank Plusquellec, nouveau propriétaire d’Au goûter breton



Créée en 1951 par Anita Tudal et reprise en 1988 par son fils Roger, la crêperie Au goûter breton, véritable institution douarneniste, vient de changer de main. Ou plutôt, de famille.

Frank Plusquellec a pris les rênes d’Au goûter breton fin juin. (Léna Guihéneuf)

Fin juin a certes sonné la fin d’une histoire familiale. Mais certainement pas la fin d’une institution. Roger Tudal, ancien propriétaire d’Au goûter breton, a laissé les clefs de la boutique à un ami de longue date, Frank Plusquellec. « Je savais que Roger souhaitait vendre. Or, je cherchais à reprendre une industrie. La restauration n’était pas mon plan d’origine, mais des remises en cause successives m’ont mené à cet établissement, qui m’a tout de suite plu », se remémore le nouveau propriétaire.

Un nouveau départ

Avant de devenir restaurateur, Frank Plusquellec travaillait dans l’agro-alimentaire et les industries de packaging. Breton de naissance, il a enchaîné durant de longues années des allers-retours entre sa terre natale et l’étranger. Prendre un nouveau départ à Douarnenez, ville dont il est tombé amoureux lors d’un stage, n’était alors pas une option. « J’y habite depuis que j’ai 25 ans. Mes enfants y ont grandi. Mais moi, j’étais rarement là. Je n’envisageais pas d’autres endroits pour me poser définitivement », confie-t-il.

Si être à la tête d’une équipe n’est pas une nouveauté pour lui, Frank Plusquellec avoue tout de même que gérer un restaurant plutôt qu’une équipe d’ingénieurs est une autre paire de manches. « C’est un tout autre monde. S’occuper des relations avec les fournisseurs, avec les clients, prendre les réservations, mettre la main à la pâte au besoin ! Ce n’est pas facile de s’approprier tout cela, surtout en pleine saison », avoue-t-il. C’est pourquoi il attendra la fin de l’été pour se former comme il se doit en cuisine. La priorité à l’heure actuelle : satisfaire les clients.

« Comme d’habitude »

« Les habitués étaient soucieux de savoir qui j’étais et si je n’allais pas tout changé », sourit le nouveau patron. Ils peuvent être rassurés. « Il est pour moi inconcevable de reprendre une telle institution en y changeant tout ce qui faisait sa renommée. Justement, l’enjeu est de réussir à la conserver », affirme-t-il. Il n’y a d’ailleurs que le propriétaire qui a changé : le personnel - quatre salariés et quatre saisonnières -, les produits, les fournisseurs, la carte… restent les mêmes. En témoigne une dame ayant oublié son chapeau qui a glissé au nouveau maître des lieux : « On s’est régalé, comme d’habitude ! »

Article Le Télégramme du 16 juillet 2021

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